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Ilane ↔ « Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. »
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Dim 23 Sep - 15:42

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Tu rentres chez toi, il est 9h, et tu files sous la douche. Ton corps péte la forme après les 2 heures de course que tu viens de finir. Après une rapide douche, tu prends un truc à manger, vite fait dans ton armoire à biscuits, et tu grignotes tout en t'habillant pour aller en cours. Ce matin, ton premier cours est à 9h30, et il est déjà 9h20, tu vas devoir te dépêcher. Tu finis de manger, et tu mets toutes tes affaires dans ton sac, puis tu sors de chez toi direction l'université. Tu croises quelques personnes que tu connais, et que tu salues rapidement, puis tu arrives devant ta classe. Tu passes la tête par la porte. Personne. Tu soupires, à coups surs le cours a été annulé, et tu vas te retrouver seule comme une quiche parce que personne ne t'as prévenu. Justement, quelqu'un passe par là. « Excuse-moi, mais le cours de chimie a été annulé? » La jeune femme en face de toi te regarde d'un air hautain. « Bah oui, tu vois bien qu'il n'y a personne. » Tu soupires à nouveau, et laisses la fille se tirer sans lui gueuler dessus, tu te laisses tomber au sol, énervée d'être venue pour rien, et de ne pas avoir pu profiter d'une longue douche. Ou de ne pas avoir pu prendre un dernier café. Enfaite, c'est surtout pour le café que ça t'énerve... Tu relèves la tête, et souris faussement aux quelques personnes qui passaient dans le couloir.
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Dim 23 Sep - 16:05
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.



L'université, la fac, ce genre de lieux qu'ilane avait fuit avec un entrain non caché. C'est vrai qu'il n'avait jamais été branché études, au contraire, il n'avait simplement pas eu le choix. Papa décidait évidemment. Bref, Ilane n'avait pas fait d'études, il avait juste eu des opportunités ainsi que beaucoup de chance, il le savait, s'en rendait compte, c'est vrai. Ce qu'il faisait ici ? Il avait du passer dans le cadre de son travail, rencontré des étudiants - et étudiantes - en communication, ce qui le reliait à son métier d'animateur. En tout cas, la réunion était maintenant terminée, et il avait bien envie d'aller se chercher quelque chose à boire aux distributeurs qu'il avait remarqué en entrant dans le bâtiment. Marchant dans les couloirs, il aimait bien ça, marcher, attirer les regards, il savait qu'il n'avait pas un physique désagréable à regarder. Mais une personne attira son regard, une seule. Assise dans un coin du couloir, l'air dépité, il pouvait la reconnaitre facilement pour l'avoir croisé à Paris. Rien de bien fabuleux, ils avaient fini dans le même lit, mais c'était il y a ... trois ans. Oui. Un peu plus peut-être. En tout cas, la voir ici, ça signifiait beaucoup pour lui, ça fit comme un déclic, mais il garda son calme. Peut-être était-ce une erreur, peut-être était-elle de passage ici, comme lui. Bref, il alla vers elle, l'observant d'en haut. « Eoline si j'ne m'abuse. » Avait-il vraiment couché avec une jeune femme mineure ? Il avait bien l'impression en la voyant ici, avec un sac de cours. A l'époque, elle lui avait dit qu'elle avait dix-neuf ans, quelque chose comme ça. Mais si elle était là ... Il avait merdé, il le sentait déjà, sans même lui demander. Déjà, là, il attendait qu'elle lui réponde, voir sa réaction, il verrait bien si ce qu'il pensait était vrai ...
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Dim 23 Sep - 16:20

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Tu soupires, sans arrêt, observant les gens passés, leur lançant des regards menaçants en voyant les leurs qui avaient l'air de dire 'Oh la fille trop conne qui s'est bougée pour rien' Parce que c'est ce que tu étais trop conne pour te faire de vrais amis qui t'auraient prévenus que ton cours avait été annulé. Bref. T'as faim, t'es même affamée, le petit biscuit de ce matin ne t'as pas calé l'estomac, mais c'est surtout d'un café que t'as besoin, pas d'un croissant. Tu penses à te lever, et aller t'en chercher un mais quelque chose te retient. La flemme surement. Tu tournes ta tête vers la droite, et remarques un homme. Il est très attirant, c'est ce qui as d'abord attiré ton regard. Mais en regardant un peu mieux, tu le reconnais. Ilane. Ca date de trois ans. A Paris. Après ta rupture avec Le Crétin. Tu étais sortie, et tu l'avais rencontré, prétextant être majeure depuis un an, vous aviez fini la nuit ensemble, tu avais noyé ton chagrin dans ses bras. 19 ans, l'âge que tu avais maintenant en réalité. Tu te mords la lèvre, et tournes vivement la tête, priant pour qu'il ne t'ait pas reconnue. Illusions, tu entends ses pas foncés directement sur toi, et sa voix s’élève dans le couloir. « Eoline si j'ne m'abuse. » Tu relèves les yeux vers lui, et lui fais un sourire charmeur. « Ilane, quelle surprise! Qu'est-ce que tu fais ici? » Ta voix ne te trahit pas, elle est mesurée, douce, et sûre d'elle. 21 ans, voilà l'âge qu'il doit penser que tu as. Tu peux continuer à lui mentir, à affirmer que tu avais bel et bien 19 ans quand vous aviez couché ensemble, et que maintenant tu es en dernière année à la fac. Ouai, c'est ça, c'est un bon plan !
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Lun 24 Sep - 19:42
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.



Elle relève la tête et le regarde. Il l'inspecte, il la transperce de son regard à la recherche d'une quelconque réponse sur ses interrogations. Elle lui lance un fabuleux sourire alors qu'elle prend la parole. « Ilane, quelle surprise! Qu'est-ce que tu fais ici? » Pas de doute, de peur, mais plutôt de l'assurance. Peut-être n'était-ce qu'une coïncidence de la croiser ici, assise dans les couloirs de cette université? Peut-être bien. Il lui répond par un sourire en coin avant de lui tendre la main pour l'aider à se relever, non, il n'allait pas la laisser là, il n'allait pas la laisser tranquille, pas maintenant. Tant pis pour elle, tant pis si elle avait d'autres choses à faire. En tout cas, vu ce qu'elle était en train de faire, elle ne lui semblait pas plus occupé que cela. Bref, il l'aida à se relever quand elle s'empara de sa main. « Les études me manquent ... Juste une conférence que je devais animer. » Rajouta-t-il du tac au tac, avant de commencer à marcher sans lui laisser le choix de le suivre au non puisqu'il lui tenait toujours la main. Certes, il finit par la lâcher. Tout était dans le but de la provoquer, lui faire faire un faux pas, car il avait toujours son doute malgré l'assurance dont elle faisait preuve. Avait-il vraiment couché avec une mineure ? Il en avait bien peur maintenant. « Et toi alors ? Paris ? La dernière fois, c'était à Bordeaux, dans ce bar. » Il insista sur le dernier mot invoquant bien ce qu'il s'était passé après le bar. Et au moment où elle failli répondre, une jeune femme vint les interrompre. « Hey Eo, qu'est-ce que tu fais ici avec ce mec ? Tu me présentes pas ? Oh et je sais pas si tu es au courant, mais les deuxièmes années n'ont pas cours, donc nous, parce que ... Je sais plus pourquoi d'ailleurs. Bref, tu me présentes. » Bam, une sublime claque. Deuxième année n'est-ce pas. Alors oui, il fixa Eoline sans faire attention à la jeune femme qui était venue les déranger.
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Lun 24 Sep - 19:56

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Tu l'entends te parler, et tu relèves ta tête. Il est beau, toujours autant, voir plus. Il a toujours ses incroyables yeux, qui t'ont fait défaillir au premier regard. Ceux qui t'ont poussé, entre autres, à mentir ce soir-là. Tu restes calme, sûre de toi, et confiante. Rien n'arrivera à te faire avouer la vérité, tu peux continuer à lui faire croire à ce mensonge, vieux de 3 ans. Il te tend la main, et après une petite seconde d'hésitation, tu poses ta paume dans la sienne, sa main est immense comparée à la tienne, minuscule. Et il te relève, tu chancelles un peu, et te trouves obligée à le suivre, parce qu'il te tient toujours. Tu sens son parfum, un parfum d'homme, ce qu'il est, aucun doute là-dessus, il n'est pas comme les gars auxquels tu es habituée. « Les études me manquent ... Juste une conférence que je devais animer. » Tu hoches la tête avec un petit sourire, mais ne dis rien du tout. Et toi alors ? Paris ? La dernière fois, c'était à Bordeaux, dans ce bar. » Tes dents mordillent ta lèvre inférieure, et tu passes une main dans tes cheveux, négligemment. ❝ Ouai, Bordeaux, ce fameux soir. ❞ Quelques jours ou semaines, tu ne sais plus bien, après que ton super copain t'ait largué, après t'avoir pris ta virginité. Tu l'as toujours au travers de la gorge cette histoire. Tu avais menti, sans aucune honte, juste pour avoir quelques heures, l'attention de cet homme sur toi. Pour arriver à oublier dans ses bras la douleur qui t’enserrait la poitrine. Tu es prête à lui servir de nouveaux mensonges, quand soudain, tu vois Cat, alias Catherine, une fille de ton cours de chimie, une vague amie, accro au café comme toi, qui débarque. Elle, elle est un peu comme toi, attirée par les mecs comme un papillon par la lumière. Et il a fallu qu'elle soit dans ce couloir, à cet instant, alors que toi tu viens de recroiser Ilane. Le gars avec qui tu as couché, prétextant avoir l'âge que tu as en ce jour. Tu déglutis avec peine, et laisses un gros vent à la jolie blondinette. Tu tournes ton regard vert vers le beau brun, et le rive dans le sien. ❝ C'est pas du tout ce que tu crois. Je peux tout t'expliquer Ilane. ❞ ta voix reste mesurée, assurée, mais au fond de toi, tu sens que tu vas faillir.
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Lun 24 Sep - 20:34
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.



Oui, Bordeaux, c'est tout ce qu'elle eut le temps de dire avant qu'une jeune femme débarque et les interrompt. Il aurait pu être exaspéré par ce comportement, ou quelque chose de ce genre, sachant qu'elle parlait en plus de lui en faisant comme s'il n'était pas là. Cependant, au contraire, il était plutôt ravi qu'elle soit venue leur parler. Oui, vraiment. Elle venait de lui délivrer une information des plus croustillantes laissant Ilane légèrement surpris. Légèrement étant un faible mot. Maintenant, il voulait surtout des explications, alors il ne capta même pas l'étudiante inconnue et se concentra sur Eoline qui tourna son regard vers lui. « C'est pas du tout ce que tu crois. Je peux tout t'expliquer Ilane. » Aucun signe qu'elle est prise au piège, mais Ilane reste sur ses gardes, il acquiesce légèrement avant de regarder l'inconnu. « Tu nous excuseras, mais on a quelques temps à rattraper, donc Eoline viendra te voir plus tard ... enfin, si elle est vivante. » Sa dernière phrase fut dite sur un ton très bas, mais pas pour autant avec ironie. Non. Mais il se montra quand même doux, voir même très doux, prenant la main d'Eo dans la sienne, il m'embarqua à sa suite sans lui demander son avis. Parler de ça en plein milieu du couloir avec des oreilles indiscrètes de partout. non, ce n'était pas une très bonne idée. Alors il la conduisit jusqu'au premier revers de couloir qui semblait vide, là il tourna encore dans un coin pour se retrouver dans un petit coin reculé. Pas énormément de place, mais ils logeaient, le principal étant le fait qu'il n'y avait personne. La plaquant légèrement contre les casiers qui ornaient le mur, il plongea son regard bleuté dans son regard. « Il me semble que je mérite quelques explications ... » Commença-t-il sans la lâcher du regard, la scrutant sans gêne. « Quel âge as-tu ... réellement. » C'était direct, simple, il ne passait pas par quatre chemins. en même temps, il n'y voyait pas l'intérêt, autant avoir la réponse tout de suite. Il aviserait ensuite. D'ailleurs, il ne savait toujours pas comment réagir. C'était un mensonge, mais qui n'a jamais menti, franchement ?

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Mar 25 Sep - 14:55

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Tu la maudis, tu la détestes, tu l’exerces. Tu as envie de lui arracher les yeux, de la faire taire, de faire oublier ses paroles à Ilane, qu'il n'ait rien entendu. Parce que tu sais que ça va mal tourner. Que tu vas devoir mentir, encore, à propos de toi, de ton âge, de tout ce que tu lui as dit. Tu vas devoir jouer le jeu, à fond, sans le laisser voir clair dans ton jeu. Pas question de lui avouer la vérité. Non, pas question du tout. Tu restes de marbre, ne laissant pas voir à quel point, au fond tu étais bouleversée, honteuse, et gênée. « Tu nous excuseras, mais on a quelques temps à rattraper, donc Eoline viendra te voir plus tard ... enfin, si elle est vivante. » A ses derniers mots, tu frissonnes, il ne rit pas. Il est deux fois plus grand, et plus fort que toi, au fond, il pourrait vraiment te tuer. Mais tu doutes qu'il le fasse, pas lui, il avait été si gentil quelques années auparavant. Soudain, ta main est prise dans l'étau de la sienne, et sans te laisser un quelconque choix, il te traine derrière lui. Tu le suis, en silence, te préparant à ce qui allait suivre. A l'interrogatoire. Après quelques tournants, vous vous retrouvez seul, dans un petit recoin d'un couloir. Endroit très étroit. Il te colle aux casiers, et un sourire charmeur se dessine sur tes traits. Tu sais comment tu vas jouer, comment tu vas réussir à gagner la partie surtout. Puis, son regard bleu plonge dans le tien, et tu faiblis devant l'intensité de ses prunelles. « Bon dieu. » penses-tu. Mais tu te reprends quand tu entends sa voix. « Il me semble que je mérite quelques explications ... » Tu ouvres la bouche pour répondre, mais il te coupe. « Quel âge as-tu ... réellement. » Une mèche de tes cheveux châtains s'entortille autour de ton index, et tu hausses les épaules, désinvolte. « M'enfin Ilane, j'ai 21 ans, tu le sais très bien. » Menteuse, tu es une menteuse Eo. Mais une très bonne, il fallait l'avouer. Il n'en saurait rien. Sauf s'il demandait à voir ses papiers. Mais il ne le ferait pas... n'est-ce pas?
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Mar 25 Sep - 16:39
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.


Bloquée entre le mur et le corps d'Ilane, elle ne pouvait plus lui échapper. Non, il n'allait plus la laisser s'en aller, pas après tout ça sans avoir de réponses. Il voulait savoir la vérité, c'est vrai, mais il voulait surtout la savoir si elle était bonne pour lui, c'est à dire qu'elle avait bien vingt-et-un ans, et pas autre chose. « M'enfin Ilane, j'ai 21 ans, tu le sais très bien. » Elle avait vraiment l'air de dire la vérité, sa voix était assurée, totalement sereine, alors Ilane se décrispa, doucement, sans la lâcher des yeux cependant. « Nouveau mensonge ? Franchement, ça sert plus à rien d'me mentir maintenant, c'qui est fait est fait. » Oui, il prêchait le faux pour avoir le vrai, est-ce que ça ne changeait rien maintenant ? Ce n'était pas totalement faux. Est-ce qu'il allait lui en vouloir pour lui avoir menti ? Hum ... Il ne savait pas, pour le moment, il n'en savait rien. Peut-être que ça lui permettrait de faire plus attention à l'avenir ... Même si les petites jeunettes, il évitait maintenant, il n'avait plus l'âge comme certain disait. Bref, il tenta d'avoir la vérité, mais elle restait silencieuse. Une autre technique serait alors de mise. Levant doucement sa main vers son visage, il frôla doucement sa joue, en la transperçant de ses yeux azurs. « Et puis, ça nous empêcherait pas de recommencer maintenant n'est-ce pas, tu es bien majeure maintenant. » Provoquer, la chercher, pourquoi pas lui donner un peu d'espoir pour qu'elle lui avoue, entièrement, car être en deuxième année signifiait bel et bien qu'à l'époque de leur rencontre, elle avait été mineure. mauvaise chose pour lui, mais il ne risquait plus grand chose maintenant, enfin, elle pouvait toujours porter plainte. Hum. Non, elle n'était pas comme ça, enfin, il pensait qu'elle n'était pas comme ça, il espérait clairement ne pas se tromper sur la personne.

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Mar 25 Sep - 16:53

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Coincée, prise au piège comme une brebie devant un loup, tu te résignes à mentir, avec brio il faut le dire. Tu espères qu'il te croit, ou qu'il finira par croire les bobards que tu lui sers. « Nouveau mensonge ? Franchement, ça sert plus à rien d'me mentir maintenant, c'qui est fait est fait. » Tu déglutis discrètement, il essaye de te faire faiblir, de te faire avouer, tu en es totalement consciente. Mais il n'y arrivera pas, pas encore du moins. « J'étais majeure Ilane, pourquoi tu me crois pas, ce soir-là pourtant, tu me croyais. » Tu prends une voix boudeuse, qui colles avec ta mine vexée, et ta moue de bébé. Tu veux le faire craquer, qu'il oublie vite fait cette histoire. Soudain, il changea du tout au tout, et sa main vint effleurer ta joue, comme une plume. Étonnée, tu te prends à soupirer, et son regard se plonge dans le tien. Tu te forces à soutenir ses prunelles d'eau, en te mordillant la lèvre. « Et puis, ça nous empêcherait pas de recommencer maintenant n'est-ce pas, tu es bien majeure maintenant. » Il essaye encore de te faire dire l’inavouable. Mais tu préfères ignorer ses sous-entendus. « Avoue, ça te plairait de remettre ça, ça avait été sympa cette nuit-là. » Ce n'était absolument pas une question, plutôt une affirmation. Tes souvenirs de cette nuit-là sont étonnement clairs, malgré les nombreux verres que tu avais bu. Ta main se leva vers lui, et attrapa le col de son t-shirt, ton visage se rapprocha du sien, si bien que ton souffle s'écrasa contre sa joue. « Remettons-ça. » dis-tu d'une voix lancinante.
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Mar 25 Sep - 17:19
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.



« J'étais majeure Ilane, pourquoi tu me crois pas, ce soir-là pourtant, tu me croyais. » Il hausse les sourcils, puis les épaules, avant de s'approcher un peu plus. Il était tenace quand même. Il tentait d'avoir la vérité, mais la possibilité qu'elle lui dise la vérité en ce moment ne lui traversait même pas l'esprit, pour dire qu'il pouvait être têtu parfois. Lui effleurant doucement la joue, il tentait de la déstabiliser, sans jamais penser qu'elle lui disait la vérité, à croire qu'il voulait absolument qu'elle mente. Pourquoi ? Il n'en savait rien, comme un pressentiment. En tout cas, à la voir comme ça, elle ne semblait certainement pas mentir, au contraire, elle semblait sincère. « Avoue, ça te plairait de remettre ça, ça avait été sympa cette nuit-là. » Ilane se remémora doucement de cette fameuse soirée. Malgré qu'il soit plutôt volage, Ilane avait une bonne mémoire et n'oubliait pas ses partenaires, même d'un soir. Enfin, si, lorsque l'alcool coulait à flot dans ses veines, là, il ne pouvait pratiquement rien faire contre. « Je ne dirai pas non. » Chuchota-t-il, alors qu'elle s'empara de son col de t-shirt, l'amenant un peu plus près d'elle. Il se laissa faire. Sans rechigner. « Remettons-ça. » Sans la lâcher du regard, toujours, son sourire s'étira un peu plus. « Très tentant ... » Susurra-t-il, pour commencer. « Mais pas ici ... Chez toi. » Ce n'était pas une question, c'était une affirmation. Pourquoi pas chez lui ? Parce qu'il était têtu et qu'il voulait aller fouiner chez elle, toujours pas totalement convaincu de sa réponse. Alors maintenant, il avait la possibilité d'avoir encore quelques réponses, peut-être pour confirmer les réponses de la demoiselle, qui sait. En tout les cas, il n'allait pas laisser passer cette chance, surement pas. D'autant qu'un peu de plaisir ne ferait pas de mal n'est-ce pas. Son autre main vint se poser sur sa taille, et l'autre se perdre vers une des mèches de cheveux de Eoline.


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Mar 25 Sep - 17:43

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Votre proximité n'est pas dérangeante du tout. Tu détailles chaque trait de son visage, et tu sens son parfum, enivrant. Tu persistes, t'enfonçant dans tes mensonges. Et il a l'air de te croire pour finir. Tu es soulagée, mais tu restes sur tes gardes, il fait peut-être mine de, pour pouvoir mieux te faire avouer par après. Esprit tordu ? Tellement, mais ce n'est pas toujours un désavantage. Soudain, sans t'en rendre vraiment bien compte, tu t'approches de lui, très proche, et tu lui susurres quelques mots. Des souvenirs datant d'il y a trois ans te reviennent, il avait été un des premiers gars avec qui tu avais couché après ta rupture, il avait été gentil, et plutôt doux, et lui, il ne t'avait pas avoué être resté un an avec toi, juste pour avoir ton corps. « Je ne dirai pas non. » Un sourire de vainqueur étire tes lèvres. « Je m'en doutais. » dis-tu en te mettant sur la pointe des pieds, pour gagner quelques centimètres. Tu t'approches encore, te retenant de poser tes lèvres sur sa peau. Parce que d'un coup, cette situation a changé, et maintenant, tu te retrouves avec l'envie de revoir son corps, sans vêtement, et contre toi. « Très tentant ... » Les yeux clos, tu jubiles intérieurement, avant que la peur ne t'enserre l'estomac. « Mais pas ici ... Chez toi. » Tu ouvres subitement les yeux, chez toi. Ces mots résonnent dans ta tête. Chez toi. Chez toi, y'a toute ta vie, s'il fouille un peu, il découvrira qu'enfaite, tu as 18 ans depuis seulement un an, et pas trois comme tu essayais de lui faire croire. Cependant, tu hoches la tête, ton cerveau s'arrête de fonctionner. Tu le veux lui, qu'importe. Il ne va pas se mettre à farfouiller partout de toutes manières. Et puis au pire, il découvre, qu'est-ce que ça change? « Suis-moi alors. » lui chuchotes-tu à l'oreille, avant de piquer son cou d'un petit baiser. Tu joins ta main à la sienne, et presses ton corps contre le sien, pour arriver à passer. Direction ton petit appartement. Puis tu penses à un détail. « J'ai un chien, ça te gêne? Et puis, c'est un peu le bazar, mais avec les cours, tout ça, enfin, j'ai pas beaucoup de temps pour ranger... » tu lui fais un sourire d'excuse, et te mets en route.
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Mar 25 Sep - 18:55
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.



Il la fixe, et lui assure qu'il ne serait pas contre, alors qu'un sourire s'affiche sur les lèvres de Eoline. Elle pensait qu'elle était en train de gagner. Mais gagner quoi ? Le fait qu'elle avait passer un moment avec lui, ou le fait que son mensonge était passé sans soucie. Qui sait ? « Je m'en doutais. » Elle s'approche encore un peu plus de lui, alors que lui, ne bouge toujours pas, se contentant de la laisser faire. Il lui sussurre d'aller chez elle, elle ouvre les yeux, le fixant un peu plus. « Suis-moi alors. » Chuchota-t-elle, pressant son corps contre celui d'Ilane qui se recula pour la laisser passer devant avec d’écoper un léger baiser dans le cou. Rien de bien appuyé, mais un frisson le parcourut de par la surprise de ce geste. Il se rappelait bien qu'à l'époque, il y a trois ans, elle n'aurait jamais ça. S'emparant de sa main, il se laissa guider hors de leur petit coin d'intimité. Il avait gagné lui aussi, il allait aller chez elle. « J'ai un chien, ça te gêne? Et puis, c'est un peu le bazar, mais avec les cours, tout ça, enfin, j'ai pas beaucoup de temps pour ranger... » Ilane sourit, doucement, alors qu'elle reprend sa route. « Ca ne me gêne pas, et vu ce que nous allons faire heureusement que tu n'as pas rangé, tu aurais du recommencer. » Il lui délivre un clin d'oeil continuant à marcher dans les couloirs, alors que des regards se laissent aller en les fixant. Apparemment, ils attirent les regards, ce qui fait encore plus sourire Ilane. Bref, ils sortent de l'université et arrivent rapidement non loin de l'appartement de Eoline, tout le long du trajet, il n'avait pas une seule fois lâcher sa main, au contraire, il avait même renforcer la pression autour de cette dernière, en gardant le corps de la jeune femme non loin du sien. Elle s'arrête devant un bâtiment, il en déduit ainsi qu'elle doit habiter dans ce coin. Ca n'a pas l'air des plus disons ... aisé, mais il s'en fiche éperdument au fond, car s'il avait voulu du confort, il l'aurait tout simplement emmené chez lui, sauf que c'était plus loin et qu'il n'aurait pas ses réponses.


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Mar 25 Sep - 19:25

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ La vie est faite de petites victoires, voilà ce que toi, tu penses. Et puis, tu es soulagée, tu as gagné, du moins, cette manche. Il te fout la paix, gobe tes mensonges sans paraître méfiant, du moins, plus après un certain temps. Il reviendra peut-être à la charge, mais pour l'instant, il se tait. Et c'est tant mieux. Tu t'approches, et chuchotes contre son visage. Il propose d'aller chez toi. Tu redoutes, mais d'un coté, si tu n'acceptes pas, cela n’équivaut pas à lui avouer que tu as des choses à cacher? Or, tu ne veux pas qu'il soupçonne le moindre détail. Tu acceptes, vérifiant intérieurement où tu as rangé les albums photos de tes années au lycée, et tes effets personnels de ce genre. Il devrait fouiller dans tout ton appartement avant de trouver un détail croustillant. « Ca ne me gêne pas, et vu ce que nous allons faire heureusement que tu n'as pas rangé, tu aurais du recommencer. » Tu éclates d'un rire cristallin, et secoues la tête, l'air de dire 'N'importe quoi.' Alors qu'il a peut-être, surement, raison. Tu lui attrapes la main, et t'approches pour qu'il se pousse. Tu le traines derrière toi, et vous sortez de votre repère. De nombreux regards se posent sur vous, sur vos mains entrelacées. Tu comprends, il a quoi 12 ans de plus, il est magnifique, attirant, grand, et il a un petit sourire en coin qui vous tue sur place. Tu approches tes lèvres de son oreille. « Tu attires les regards dit donc. » dis-tu sur un ton taquin. Vous sortez, et tu te diriges vers ton appartement, pas trop loin de l'université. Le contact avec la main d'Ilane te fais frémir, tu as l'impression qu'il cherche à s'approcher toujours un peu plus de toi. Ce qui est peut-être le cas. Une fois arrivée, tu t'arrêtes devant chez toi. C'est plutôt petit, et ce n'est pas aussi luxueux que la maison dans laquelle tu as grandi, mais c'est tout ce que tu sais t'offrir. Tu lui lâches la main, et cherches dans ton sac tes clés, puis tu ouvres, et récupères sa main, le trainant jusqu'à l'escalier, puis devant la porte de ton appartement, tu la lui relâches, et ouvre la porte. Une petite chose aboie, et tu souris en entrant. « Coucou ma Floris. » gazouilles-tu. « Au panier, allez! » Elle t'obéit, et tu fermes la porte du salon, histoire qu'elle ne vous dérange pas. Tu t'avances vers Ilane. « Voilà, bienvenue chez moi. » Tes bras s'enroulent autour de sa nuque, et tu approches tes lèvres des siennes, venant les effleurer simplement, pas encore l'embrasser.
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Mer 26 Sep - 18:09
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.



« Tu attires les regards dit donc. » Lui dit-elle alors qu'ils étaient encore dans les couloirs. Ilane ne put s'empêcher de sourire avant de lui dire quelques petits mots. « Je pense que c'est plutôt nous deux qu'ils regardent, pas seulement moi. » C'est ce qu'il lui avait chuchoté alors qu'ils étaient en route pour la sortie. Maintenant, il entrait dans l'appartement de Eoline, un chien débarque, se jette sur sa maitresse, pendant qu'elle se baisse en lui chuchotant quelques mots. Ilane attend qu'elle termine avant qu'elle ne ferme la porte du salon. « Voilà, bienvenue chez moi. » Elle s'avance vers lui, d'un pas décidé, tout en commençant à enrouler ses bras autour de son cou. Il ne bouge pas et referme à la place ses mains autour de la taille de la jeune femme en plongeant ses yeux dans ses iris vertes qu'il fixe sans relâche. Leurs visages se rapprochent, doucement, alors que leurs lèvres s'effleurent. « C'est charmant. » Susurre-t-il en approchant ses lèvres des siennes pour finalement les dévier à la commissure de ses lèvres y déposant un léger baiser, puis un autre le long de sa mâchoire, et terminant dans son cou. Ilane avança en même temps, la faisant reculer et l'amenant jusqu'au mur où il l'a bloqua délicatement. Ses mains divaguèrent vers le top qu'elle porta dont il empoigna les bords et qu'il releva d'un geste experte, retirant définitivement la totalité de son haut. Seule sa poitrine était encore cachée de part le tissu concernant son haut. D'ailleurs, il ne tarda pas à venir trouver ses lèvres pour la premières fois depuis leurs fameuses retrouvailles. Il l'embrassa, mais cette fois-ci, ce n'était plus comme à Bordeaux, quelque chose avait changé, il ne savait pas encore quoi, mais quelque chose avait changé, il en était certain. Mais ceci ne s'attarda pas sur ses pensées, non, il était bien trop occupé à penser à autre chose là, tout de suite.


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Mer 26 Sep - 18:24

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Vous attirez bien des regards, et tu le lui fais remarquer en souriant. « Je pense que c'est plutôt nous deux qu'ils regardent, pas seulement moi. Un grand sourire se dessine sur tes lèvres, et tu te rapproches un peu plus de lui. Après une dizaine de minutes de marche, vous arrivez devant ton chez-toi, ton appartement. Tu ouvres, et le petit bébé berger allemand te court dessus, et sautille dans tout les sens. Tu lui parles quelques secondes, avant de la mettre au salon, et de t'occuper du beau brun. Tes bras s'enroulent autour de sa nuque, et tu approches tes lèvres des siennes, venant simplement les frôler. Tu sens les mains d'Ilane sur ta taille. « C'est charmant. » Tu éclates d'un petit rire, avant de te stopper net, quand il dépose un baiser au coin de tes lèvres, puis il descend, pour finir dans ton cou. Tu relèves le menton, laissant ton cou plus accessible, et ton souffle se saccade. En même temps, il te force à reculer, pour finir par te coller contre le mur de ton hall. Ses mains jouent avec ton haut, et tu n'as qu'une envie, qu'il te l'enlève. Ce qu'il finit par faire, te laissant devant lui, seulement vêtue d'un soutien noir en dentelle. Tu te presses contre son corps, et tes lèvres se retrouvent collées aux siennes. Tu mêles ta langue à la sienne, dans une danse endiablée, tes mains caressent ses joues, sa nuque, pour finir dans ses cheveux. Tu profites de ce contact, qui te parait différent d'il y a trois ans. Surement parce que les circonstances ne sont pas pareilles, parce que ce n'est pas la 3e fois que tu couches avec un homme. Tu stoppes le baiser, à bout de souffle, et lui susurres à l'oreille. ❝ Ma chambre est par-là, si ça t’intéresse. ❞ Tu désignes de la tête une porte close, qui donne sur un grand lit deux personnes, une penderie énorme, un bureau, et des piles de livres. Sans attendre de réponse, tu reprends possession de ses lèvres, et l'embrasses avec avidité.

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Jeu 27 Sep - 15:20
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.



Et voilà, la partie commençait alors que rien ne pouvait l'en empêcher. C'était ainsi que ça devait se passer, comme lors de leur rencontre, une sorte de cercle qui ne pouvait être rompu, du moins, pour le moment. La plaquant contre le mur, Ilane prit le contrôle de la situation comme il aimait si bien le faire. C'était un homme avec un égo parfois bien lourds à gérer faut pas croire hein. « Ma chambre est par-là, si ça t’intéresse. » Grognant légèrement en guise de réponse, Ilane descendit ses mains vers le jean d'Eoline qu'il déboutonna en deux mouvements avant de lui le lui retirer délicatement. Pour se faire, ses mains légèrement plus froides que son corps vinrent le long de ses hanches, de ses cuisses, avant de lui lever les jambes et enlever le tissu complètement. Pendant tout ce temps, il laissa quelques baisers à la naissance de sa poitrine, descendant doucement vers son ventre plat qu'il se permit de parsemer de quelques baisers fiévreux. Cette chose faite, il passa ses mains sous ses deux cuisses pour ainsi relever ses jambes et l'obliger à les enrouler autour de sa taille. Maintenant agrippée à lui, elle n'avait d'autre chose que de le suivre direction la chambre de la demoiselle. Sans quitter ses lèvres, il la décolla du mur avant de se diriger vers la porte close qu'il ouvrit à tâtons en saisissant la poignet par un coup de chance suprême. Il ne prit pas le temps de détailler la chambre, immédiatement, il la laissa tomber dos contre le matelas, restant quelques secondes debout, l'observant et prenant ainsi le temps d'enlever son propre t-shirt qu'il laissa par la suite tomber sur le plancher ornant le sol de la pièce. Quel bois ? Franchement là, il n'en avait que faire. Bref, il avait envie de lui faire découvrir le septième ciel, c'était certain et cela se voyait entièrement dans ses yeux. En effet, ils s'étaient légèrement noircis par le désir montant en lui. Venant se glisser au dessus d'elle, il plongea ses yeux dans les siens en capturant une nouvelle fois ses lèvres.


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Jeu 27 Sep - 15:36

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Seuls dans le hall, il te plaque contre le mur, avec délicatesse, vos lèvres se retrouvent, et c'est encore mieux qu'avant. Tu as envie de lui comme jamais, tu as l'impression que ton corps chauffe tellement tu le veux. Tu lui montres ta chambre, sans pour autant bouger, tu ne veux pas t'arracher à cette étreinte, a première vue, c'est également son cas, parce que pour toute réponse, tu as droit à un beau grognement. Ta poitrine se soulève alors que tu rigoles un peu. Ses mains descendent et tu cherches son regard, le coeur battant un peu plus vite. Ses mains froides t'enlèvent le bout de tissu, en te faisant frémir. Pas seulement à cause du contact plutôt froid de ses mains, mais à cause du contact de ses mains, tout court. Tu sautilles un peu pour lui faciliter la tache, en fermant les yeux quand tu sens ses lèvres sur ta peau, tout près de ta poitrine, puis sur ton ventre. Tes mains agrippent à ses cheveux. Puis, ses mains passent sous tes cuisses, et tu te retrouves collée contre son corps, à moitié nue. Tes jambes s'enroulent autour de sa taille, et tes bras attrapent délicatement ses épaules musclées. Tu cherches à nouveau ses lèvres, que tu viens mordiller en te laisser entrainer vers ta chambre. Chambre qu'il est un des seuls à avoir vu en réalité. Tu n'amènes pas souvent des hommes chez toi, tu préfères squatter chez eux, et de loin. Il ouvre la porte, et te laisse tomber sur ton matelas plutôt dur. Tes yeux se rivent sur lui, sur son torse qu'il vient de dénudé. Tu tends ta main vers lui, avec un regard de braise. Il se place au-dessus de ton petit corps, et t'embrasse à nouveau, tu prolonges, introduisant ta langue dans sa bouche. Tes mains cherchent, et trouvent avec rapidité, le bouton de son pantalon, que tu ouvres avec autant de rapidité. « T'es plus beau et plus musclé que dans mes souvenirs. » susurres-tu à son oreille, avant de lui mordiller le lobe.
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Jeu 27 Sep - 18:36
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.



Son regard l'enivre, il comprend parfaitement ce qu'elle attend et il s'exécute en venant se positionner juste au dessus d'elle. Plaçant ses mains de chaque côté de son corps, les laissant s'écraser dans le matelas, Ilane s'empare à nouveau des lèvres d'Eoline alors que leur langue se rejoignent pour une danse des plus sensuelles. La température monte de plus en plus pour atteindre son maximum. « T'es plus beau et plus musclé que dans mes souvenirs. » Chuchote-t-elle entre deux soupires au bord de son oreille avant de lui mordiller sauvagement le lobe laissant Ilane exprimer un soupire de désir. En même temps, elle détache le jean du brun qui l'aide pour le retirer complètement, se retrouvant alors tous les deux seulement vêtus de leur sous-vêtements. Pressant un peu plus son corps contre celui de la belle, il vint lui embrasser doucement la mâchoire, remontant vers ses lèvres. « Et tu es encore plus désirable qu'avant. » Lui répondit-il, entre deux souffles, deux baisers, avant de venir l'embrasser à nouveau. Lui mordillant au passage sa lèvre inférieure. Sa voix est rauque, suave, sensuelle, et exprime parfaitement que le déroulement de la suite risque d'être mouvementé dans le très bon sens. Laissant une de ses mains se glisser dans le dos d'Eo, il vint lui décrocher son soutien-gorge, habilement, avant de lui retirer entièrement, laissant à sa poitrine assez d'espace pour prendre ses aises. Très vite, le reste des vêtements d'Ilane et d'Eoline fait de même, par l'intervention des deux, le brun ne pouvait même pas savoir lequel des deux avait prit l'initiative. Bref, il lui lança un dernier regard pour la questionner, pour avoir sa dernière approbation avant d'unir leur deux corps. Une fois fait, il ne se fit pas prier lorsqu'elle l'embrassa pour guise de réponse. Bref, ils firent l'amour pour la seconde fois en trois ans. De bonnes retrouvailles.

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Jeu 27 Sep - 18:58

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Couchée dans ton lit, tu te presses contre lui, tes yeux verts sont bouffé par l'envie qui ne cesse de grandir. Tes mains passent sur son dos, musclé, large, parfait, puis, elles viennent ouvrir le bouton du jean d'Ilane. Puis, elles tentent de l'enlever, avec l'aide du brun. Tu jettes le bout de tissu au sol, sur ton parquet, avant de reprendre possession de ses douces lèvres. Tu vas devenir accro à ces dernières vu comment tu ne veux plus les lâcher. Vos deux corps se collent, se pressent, et tu ondules des hanches, frottant ton bassin contre le sien. « Et tu es encore plus désirable qu'avant. » Un sourire se peint sur tes lèvres, c'est vrai qu'en trois ans, tu as tellement changé ! Tu n'es plus la petite fille timide, tu es devenue la jeune femme sûre d'elle et joueuse que tu es maintenant. « Merci. » chuchotes-tu contre ses lèvres avec un sourire rieur. Un gémissement se fait entendre, et tu te demandes d'abord de qui il vient, avant de te rendre compte, que c'est toi qui vient de l'émettre, alors qu'Ilane vient t'embrasser en te mordillant la lèvre. Ses mains passent dans ton dos, et tu te cambres, essayant de l'aider à enlever ton soutien-gorge, ce qu'il fait sans trop de mal. Le vêtement d'un noir brillant rejoint la pile au sol, bientôt suivis de ta culotte assortie, et du boxer du brun. Tu te colles contre lui, tout sourire, et plonges tes yeux dans les siens. Tes yeux où brille une lueur de désir, d'envie, d'attente. Tu n'en peux plus, tu le veux, et lui, c'est pareil. C'est comme s'il attendait ta bénédiction, et c'était le cas d'ailleurs. Bientôt, enfin, il te pénètre, et tes jambes s'enroulent à nouveau autour de ses hanches. Un soupir passe la barrière de tes lèvres, et tu recherches ses lèvres, que tu embrasses avidement. Tes mains s'agrippent à ses épaules, et ton souffle se fait court. Encore mieux qu'avant. Beaucoup mieux. Finalement, tout ces mensonges en valaient la peine, hein Eoline?
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Ven 28 Sep - 14:01
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.



Des yeux où respirent la jeunesse avec un petit mélange d'envie et de sensuatlité, c'est exactement ce que peut lire Ilane en la surpassant ainsi de tout son corps. Collé contre elle, elle lui déballe un dernier baiser pour guise d'approbation et il n'attend plus, trop pressé, d'un mouvement serein et parfait, il unit le corps de la belle au sien. Il se montre prévenant, y allant doucement pendant qu'il peut encore contrôler ses nombreuses pulsions. Très vite, il n'entend plus que les gémissements de la belle qu'il tente d'étouffer par ses baisers qui ont également le même rôle pour les siens, beaucoup plus rauques. Ses mouvements de bassin se font rapides, tout en restant tout pour apaiser la brûlure qui c'était installé en lui depuis qu'il l'avait plaqué contre ce mur dans le hall de son appartement. Relâcher cette pression ne pouvait pas lui faire de mal, bien au contraire. Sans perdre le contact visuel, il sentait que l'extase était de plus en plus proche que ce soit par rapport à ses propres sensations qui le parcouraient que la respiration de plus en plus saccadée d'Eoline. C'est ainsi que l'orgasme le fouetta d'un coup sec, le plongeant dans un état second. Il laissa doucement son poids reposer sur celui d'Eo, avant de reprendre conscience quelques secondes plus tard pour se déplacer sur l'autre côté du lit et ainsi lui éviter de tout supporter. Il n'y avait plus que sa respiration haletante qui comblait le silence, accompagnée par celle d'Eoline. Finalement, il avait bien fait de se rendre à cette conférence ce matin, puis il avait bien faire de faire un tour dans les couloirs, sinon, il n'aurait pas croisé Eoline, ce qui aurait été vraiment dommage. « C'était encore mieux que la dernière fois. » Vint-il lui chuchoter à l'oreille en positionnant sa tête dans le creux de sa main, de manière à pourvoir la contempler à sa guise. « Faut croire qu'on s'améliore. » Ne put-il s'empêcher d'ajouter alors qu'un sourire victorieux venait orner ses lèvres.


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Ven 28 Sep - 15:00

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Pressée contre le grand brun, ta peau te semble trop étroite. Tu lui fais un beau sourire, et un baiser langoureux, comme pour lui dire que tu es prête, que tu le veux. Sans plus attendre, il unit vos corps, et un soupir s'échappe de tes lèvres. Il est doux dans ses mouvements, comme trois ans auparavant. Mais cette fois, c'est encore mieux. Tu n'as plus peur, mal au coeur, ou quoique ce soit. Et tu avais terriblement envie de lui. Ses mouvements se font de plus en plus rapides, et ta respiration se saccade, alors que tu ne peux plus taire tes gémissements. Pour les étouffer, il vient t'embrasser, et tu lui mordilles la lèvre, les yeux clos. S'en est trop, et l'orgasme ne tarde pas, tu le sens. Tu laisses échapper un long gémissement en laissant tomber ta tête sur le matelas. Son corps repose quelques secondes sur le tien, et du bout des doigts, tu caresses son dos. Puis, il se couche à tes cotés, et tu réprimes l'envie d'aller te fondre dans ses bras musclé. « C'était encore mieux que la dernière fois. » Tu hoches la tête avec force, reprenant petit à petit tes esprits. ❝ Vachement mieux même. ❞ chuchotes-tu avec un petit rire de bien-être. « Faut croire qu'on s'améliore. » Tu te tournes sur le coté, pour pouvoir l'observer. Beau comme un dieu. Et dire que tu l'as eu deux fois dans ton lit, bah dit don! Cool ❝ Faut croire oui. ❞ Tu souris presque timidement, et t'approches de lui pour poser tes lèvres sur les siennes. Tu avais failli dire une connerie. Une connerie qui t'aurait valu de tout lui avouer. 'En même temps, c'était une des premières fois pour moi.' Après t'aurais dérivé sur ton âge, et t'aurais craqué. Parce qu'en ce moment, t'es faible, t'es encore entrain de flotter dans les nuages, dans un état second. Ta respiration saccadée et ton coeur battant à un rythme fou peuvent en témoigner.
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Sam 29 Sep - 12:01
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.



« Faut croire oui. » Chuchota-t-elle laissant Ilane totalement absorbé par son petit rire qui vint enivrer la pièce. Il reste dans la même position alors qu'elle s'approche et lui délivre un léger baiser sur les lèvres, auquel il répond en s'approchant d'elle pour qu'elle ne le rompt pas, le faisant alors devenir un peu plus passionnel avant de la laisser s'échapper, la laissant ainsi reprendre sa respiration. Il reprenait également la sienne, mais il ne sut pourquoi, il sentit que c'était le moment pour la cuisiner. Peut-être le fait qu'elle était encore en train de se remettre des évènements passés. Se soulevant doucement, il vint se remettre juste au dessus d'elle. La transperçant de son regard, il vint poser ses lèvres dans son cou, sentant alors le coeur de la belle s'exciter à nouveau. Surtout ne pas lui laisser le temps de s'en remettre et reposer ses questions. Tout ce qu'il voulait, c'était la vérité n'est-ce pas. « Dis-moi, j'ai une petite question. » chuchota-t-il, y allant doucement pour qu'elle ait le temps de bien tout comprendre ce qu'il voulait savoir, vu qu'il était en même temps en train de la parsemer de doux baisers, il fallait la tenir en éveil. « Comment ça se fait que tu sois à peine en deuxième année. » Lâcha-t-il avant d'ajouter quelques mots. « Il y a trois ans, quand on s'est rencontré, tu étais en première année pourtant, je t'avoue que j'ai du mal à comprendre. » Toujours sur le ton d'un doux chuchotement, il remonta ses lèvres vers la fin de sa mâchoire, ne lui laissant pas le temps de réfléchir, c'était son but. Il fallait qu'elle réponde du tac au tac, ce qui serait alors normalement la réponse qu'il attend. C'est ce qu'il pensait, ce qu'il voulait, et au moins, ça lui permettrait de ne pas jouer au petit fouineur chez elle. Il préférait nettement que ce soit elle qui lui avoue la vérité plutôt qu'il la découvre par lui-même. C'est vrai. Il avait quelques principes des fois, il savait aussi être juste pas seulement manipulateur comme en ce moment.


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Sam 29 Sep - 12:16

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Tu es haletante, tu as chaud, tu souris comme une folle. Tu as couché avec de nombreux hommes, et pourtant, t'as l'impression que c'est ton meilleur coup. L'envie, l'attente, le mensonge. Ca doit t'exciter en fin de compte... Tu l'embrasses, et il prolonge le baiser, passionnément. Tu presses à nouveau ton bassin contre le sien. Puis il te lâche, et tu tentes de reprendre un rythme régulier. Sans succès alors qu'il se place au dessus de toi, et qu'il pose ses lèvres sur ta peau, dans ton cou. Ton coeur s'emballe. « Dis-moi, j'ai une petite question. » Aïe. « Comment ça se fait que tu sois à peine en deuxième année. » Il te cuisine, tu le sais, tu en as conscience. « Il y a trois ans, quand on s'est rencontré, tu étais en première année pourtant, je t'avoue que j'ai du mal à comprendre. » Tu tentes de mentir, sans conviction. Ton cerveau ne répond plus présent. Puis totalement. Tu es folle de ses lèvres, ses baisers t'enivrent, tu as l'impression d'être ailleurs. ❝ J'ai fait un an de droit, puis j'ai rien fait pendant 1 an. ❞ Tu ne sais même plus ce que tu dis, les années dont tu parles, tu t'inventes un an de glandage total. Tu ne sais pas si le compte est bon, si tu as bien compté le bon nombre d'années. Enfaite, tu t'en fiches, tu pousses à nouveau un gémissement, et caresses son dos, en descendant vers ses fesses. ❝ Voilà, c'est aussi simple que ça. Pourquoi t'arrêtes pas de me questionner sur ça ? ❞ Il cherche à savoir, à percer ta carapace. Il y est presque. Tu es vulnérable en ce moment. Tu viens d'avoir un orgasme de fou, et en réalité, ses lèvres sur ton corps font à nouveau monté la chaleur dans ton bas ventre. Bon sang, t'as à nouveau envie de lui. Comme si ça ne t'avais pas suffit une seule fois.
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Sam 29 Sep - 12:29
Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions.



ilane tente de la manipuler, de la rendre vulnérable pour qu'elle laisse toutes barrières tomber. Son but ultime est d'avoir la vérité, car il est aussi têtue qu'une mule, il se persuade qu'elle ne lui vend pas la vérité depuis qu'ils se sont revus. « J'ai fait un an de droit, puis j'ai rien fait pendant 1 an. » Ilane réfléchit vite, il calcule. Trois ans. Deux ans d'expliquer, il manque une petite année. Il tente de répondre, mais se laisse avoir par son propre jeu en la couvrant toujours plus de baisers alors qu'elle pousse un nouveau gémissement. Il ne reste pas de marbre puisque ce son émit avec tellement d'envie provoque en lui un frisson, puis un autre, et ainsi un troupeau de sensations qui s'emparent de son corps. Mais il tente de revenir à la réalité, à reprendre possession de son esprit. « Voilà, c'est aussi simple que ça. Pourquoi t'arrêtes pas de me questionner sur ça ? » Un sourire étire les lèvres d'Ilane pour la simple et bonne raison qu'il se sent une nouvelle fois proche de la victoire. « Parce que je sais que tu mens, tout simplement. » Lui susurra-t-il l'air sérieux, avec une pointe d'arrogance. Alors qu'elle ouvre la bouche, à moitié surprise, il s'empare enfin de ses lèvres pour l'embrasser comme il se doit et couper court à ses réflexions avant qu'elle n'invente un nouveau mensonge. « C'est si dur que ça de m'avouer que tu n'étais pas majeure il y a trois ans. Oui, trois, pas deux ans. » Il sourit encore plus, se sentant dominer la situation. allait-il enfin avoir ce qu'il voulait. Il l'espérait vraiment, totalement et presque désespérément. Parce qu'il fallait avouer qu'avec son petit jeu de manipulation, il avait excité la demoiselle, mais il avait également provoquer la même sensation chez lui. L'arroseur arrosé il parait, mais bon, il s'en fichait, c'était naturel, ça montrait qu'il n'était pas totalement insensible n'est-ce pas ? Ou pas.


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Sam 29 Sep - 12:48

❝ Il n’y a ni vérités, ni mensonges, juste des opinions. ❞


∞ Tu t'es plantée dans tes calculs. Tu n'as pas fait gaffe, pas vraiment. Tu as balancé une année comme ça au pif. Et il s'en est aperçu. Evidement. C'était son but en même temps, te faire craquer, te faire avouer. « Parce que je sais que tu mens, tout simplement. » Tu ouvres la bouche, quelque peu étonnée. Merde. Tu t'es fait avoir, comme une débutante. Que vas-tu faire ? Continuer dans ton mensonge, ou avouer ? Pas le temps de dire quoique ce soit. Il prend possession de tes lèvres, et tu prolonges quelque peu ce baiser. « C'est si dur que ça de m'avouer que tu n'étais pas majeure il y a trois ans. Oui, trois, pas deux ans. » D'un mouvement de hanches, tu le fais basculer, de manière à toi être au-dessus du beau brun. Tu plonges tes yeux verts dans les siens, aussi bleu que l'océan. Tes doigts caressent son torse, cherchant à raviver son envie. Tes lèvres s'approchent de son oreille. « T'as raison. » souffles-tu. Puis, tu replonges tes yeux dans les siens. « Mais dis-moi, ça change quoi pour toi de savoir que j'avais 16 ans quand on a couché ensemble ? Parce que oui, j'avais 16 ans. J'étais totalement mineure, j'étais limite une enfant, et toi, t'avais plus de 20 ans. » Tu reprends le dessus, même si tu as avoué la vérité, tu prends quand même le dessus. Ego surdimensionné? Totalement. Tu hausses les sourcils tout en parlant, puis tu l'embrasses avec brusquerie, avant de dériver sur sa mâchoire, et son cou. « T'as gagné, j'ai avoué. » susurres-tu en faisant glisser tes mains le long de son torse. « Mais franchement, dis-moi ce que ça te rapporte de savoir que t'as couché avec une mineure? » demandes-tu en embrassant son cou. Les rôles s'inversent. Mais surement pour peu de temps. Il allait reprendre les rênes.
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